Autrice : Mes projets en cours

Autrice 
Mes projets en cours
Mes projets en cours

Parce que les écrivains ne travaillent pas que sur un seul projet à la fois ?

Non. En tout cas, la majorité et tous ceux que je peux connaître ont toujours plusieurs projets sur le feu. Cela ne veut cependant pas dire qu’ils les travaillent tous en même temps ou à la même intensité  ! 

Pourquoi ont-ils plusieurs projets en cours ?

Imaginez que pour votre repas du midi et votre repas du soir, vous mangiez dans une cafétéria… mais ils n’ont qu’un seul plat à vous proposer. Vous devrez donc manger midi et soir le même repas. Il arrive un moment où, même si le repas de base vous plaît, vous aurez besoin de varier un peu. Pour les écrivains, c’est exactement pareil  ! 

Le travail d’écriture est un travail de longue haleine, difficile. Lorsqu’on travaille plusieurs mois sur un même projet, sur une même idée, pour se renouveler, mais aussi garder le plaisir d’écrire et de créer, beaucoup on besoin de se « vider la créativité » sur un autre sujet. Ainsi, l’auteur.trice continue d’écrire sans pour autant se bloquer sur le projet principal. 

Mes projets en cours

D’un point de vue purement personnel, j’ai cinq projets en cours, qui avancent, plus ou moins lentement, plus ou moins sûrement. Le but avec ces projets est, d’à terme, parvenir à les faire éditer, que ce soit par la voie traditionnelle ou en autoédition. 

N° 1 —X, Historique/vulgarisation/antiquité

Je ne communiquerais pas beaucoup sur ce projet qui est mon dernier né, principalement parce qu’il s’agit d’un projet de très grande ampleur (j’envisage plus d’une trentaine de tomes indépendants). J’en suis actuellement aux environs des 30 % du premier tome, qui allie vulgarisation historique (avec un soin particulier porté à la véracité historique et archéologique) et monde antique. 

N° 2 —Lahr’imar, Heroic fantasy/retelling mythologique

Il s’agit ici de mon premier roman, écrit lors de mon premier NaNoWriMo. Même si le deuxième tome est en cours de premier jet, le premier tome est actuellement en cours de refonte afin de plus coller au genre même de l’heroic fantasy, mais aussi plus être plus proche des objectifs rédactionnels et que j’ai avec ce texte. Il est actuellement mis en pause, le temps que je réorganise de manière claire tous les éléments. 

N° 3 —La Gardienne, Romantasy LGBTQIA+

Cette fois-ci, il s’agit du roman que j’ai pu avancer (à environ 45-50 %) durant le NaNoWriMo 2021. Lorsque je me suis lancée dans sa rédaction, je m’y suis prise comme avec Lahr’imar… sauf que j’ai, entre temps, appris de mes erreurs. Alors avant de m’embourber dans une intrigue qu’il faudrait que je refonde plus tard, j’ai préféré mettre ce projet en pause également, le temps de réaliser tout le travail en amont (création de l’univers, etc.) afin de m’éviter de perdre du temps et de l’énergie. 

N° 4 —Poètes et savants, Littérature jeunesse

Afin de me détendre, j’ai en cours une petite série de livres (que j’imagine illustrés, façon album), destinés aux 4-10 ans. Des histoires pour enfants donc, qui proposent par tome de répondre à une question que peuvent se poser les plus jeunes, d’une manière originale et d’une manière plus scientifique. Quelques tomes sont actuellement dans leur forme finale : après prospection auprès de maisons d’édition, je pourrais commencer les envois. 

N° 5 —X, Poésie

Je m’essaie depuis quelque temps à la poésie en vers libres. Mon carnet se remplit, petit à petit. Lorsque j’en aurais suffisamment, j’envisage le montage d’un premier recueil. 

Et les nouvelles alors ?

Dans mon article Mon rapport à l’écriture, je partageai que j’avais plusieurs nouvelles de prêtes, qu’il fallait seulement organiser en recueil. Seulement, monter un recueil ne se fait pas un claquement de doigts. Pour qu’il soit pertinents, plusieurs éléments sont à prendre en considération. Pour l’instant, je n’ai ni l’envie ni la volonté d’engager du temps pour monter un recueil de nouvelles efficace et pertinent. Mes nouvelles sont bien au chaud dans un dossier sur multiples disques durs : lorsque leur moment viendra, elles seront là. 

Pourquoi faire de la vulgarisation ?

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vulgarisation 
vulgarisation 
?
Vulgarisation

. Qu’est-ce qui se cache vraiment derrière ce mot un peu barbare ? Beaucoup de choses, mais surtout, de belles valeurs

Avant tout, qu’est-ce que la vulgarisation ?

C’est un mot que l’on peut beaucoup entendre, mais nombres ont du mal à vraiment lui donner une définition.

Revenons rapidement sur les origines de ce terme.

Étymologiquement, la vulgarisation vient du nom latin vulgus, um, la foule ainsi que de l’adjectif vulgaris, relatif à la foule.

Le vulgaire étant tout ce qui touche à la foule, avec l’évolution de la langue, vulgariser a pris la définition de rendre accessible à la foule.

De nos jours, le dictionnaire Le Robert définit la vulgarisation ainsi :

Fait d’adapter des connaissances techniques, scientifiques, pour les rendre accessibles à un lecteur non spécialiste.

Pourquoi faire de la vulgarisation ?

Vous l’aurez compris, le but premier de la vulgarisation est de rendre accessible à monsieur tout le monde des connaissances, des données habituellement réservées aux spécialistes.

On pourrait légitimement se demander l’intérêt d’une telle pratique. Après tout, en réalisant soit même quelques recherches, surtout avec Internet, on peut trouver tout ce qu’on veut non ?

Oui… et non.

Penser ainsi revient à oublier plusieurs types d’individus qui n’ont pas forcément les compétences ni les capacités de réaliser de telles recherches.

Arrivez-vous à imaginer un enfant en train de lire un livre de paléontologie pour adultes pour savoir quelle taille fait son dinosaure préféré ? Personnellement, non.

Et puis, on oublie bien souvent que faire des recherches est une activité à la fois chronophage et énergivore : tout le monde n’a pas le temps ni l’énergie de se lancer dans une telle entreprise.

Vulgariser, c’est permettre à ceux qui ne le peuvent pas d’avoir accès à un univers illimité de connaissances.

Quel intérêt pour une entreprise ou une association ?

Quel que soit votre domaine d’expertise, vous pouvez être certain que votre spécialité va être très nébuleuse pour au moins une catégorie de personne… de potentiels clients, ou de potentiels adhérents ou bénévoles.

En tant que professionnels ou qu’ associatif, vulgariser votre activité grâce à des flyers, des visuels, mais aussi des articles voire même des livres revient à rendre vos valeurs, vos luttes, vos idées visibles et compréhensibles par tout un chacun.

Sans compter que vous augmentez considérablement votre capital sympathie en vous rendant accessibles : une donnée importante à prendre en compte, notamment dans la recherche de clients et pour fidéliser des adhérents.

En bref…

La vulgarisation, en plus de permettre à tout un chacun de s’instruire sur des sujets parfois techniques et qui lui seraient restés inaccessibles, est un véritable outil marketing et social à ne pas négliger, quelle que soit votre structure. Ne l’oubliez pas !

Vous cherchez à rendre accessible votre activité ? Vous avez un projet de vulgarisation en tête, mais pas le temps de réaliser ? N’hésitez pas à me contacter par mail ou par le formulaire de devis !